Blog emploi

jeudi, janvier 26, 2006

La WebTV ANPE

L’ANPE vient de lancer sa television, la webTV.Désormais, il est possible de consulter, via le site de anpe.fr, touts les reportages réalisées par l’ANPE.


Vous pouvez trouver des vidéos :

  • des vidéos d’actualités sur les opportunités d’emploi, les forums emploi et les dispositifs d’aide à la recherche d’emploi,
  • une sélection de vidéos sur les métiers porteurs,
  • un catalogue de 120 vidéos métiers regroupées par secteurs professionnels.

Une aide en ligne a été prévue, afin que vous puissiez tester votre configuration et résoudre les éventuels problèmes de lecture.

lundi, janvier 23, 2006

Des blogs ouverts sur les carrières

Fini le chômeur déprimé. Dans son blog, le candidat à l'emploi parle de ses
passions professionnelles. Parfois, le chasseur de tête tombe sous le
charme.


Via Lefigaro.

Offre d'emploi

Pour l'implantation d'un des groupes les plus florissants au monde, multinationale au développement du C.A. annuel moyen à deux chiffres depuis 1985, n°1 dans son domaine (M.L.M.), nous recherchons notre futur leader (h/f) dans votre région.

Actuellement sur 28 pays (Europe et Australie)

Tél : 06.13.95.70.44
E-mail : jc.bras@tiscali

samedi, janvier 21, 2006

Questions lors d’un entretien d’embauche

Lors d’un entretien d’embauche, le recruteur vous posera quelques questions afin de mieux vous connaître.

1. Qu’est ce qui vous attirez dans cet nouvelle entreprise ?
2. Décrivez-moi une situation où vous êtes allé au delà de votre fonction pour aider un client ?
3. Pourquoi êtes vous intéressé par le poste et notre société ?
4. Pourquoi vous recruter plutôt qu’un autre candidat ?
5. Quels sont à pour vous les principales qualités et points d’amélioration ?
7. Dans vos expériences passées, avec quels types de clients ou de collègues aviez-vous le plus de mal à travailler ?
8. Racontez-moi la plus belle réussite de votre carrière ?

vendredi, janvier 20, 2006

Réussir l'entretien d'évaluation

L'entretien d'évaluation s'avère parfois démoralisant pour les évalués. Les conseils clés pour faire de ce rendez-vous une source de motivation pour votre équipe.


1. Bien préparer l'entretien

Pour rencontrer ses collaborateurs en entretien d'évaluation, il faut soi-même avoir passé l'entretien avec son manager et connaître ses objectifs. Lors de la préparation, vous pouvez vous demander en quoi votre manager a répondu ou non à vos attentes. Pour que votre équipe accueille bien l'entretien d'évaluation, vous devez respecter une certaine homogénéité : proposer un schéma ou une grille de lecture commune, un lieu neutre et une durée d'entretien à peu près équivalente. Et n'oubliez pas les plus performants. "Les bons attendent beaucoup de l'entretien, note André-Jean Grenier. Il faut passer autant de temps avec eux." Prévenez vos collaborateurs une à deux semaines à l'avance et remettez-leur un document support qui les aidera et vous aidera à préparer l'entretien. Ensuite, pour chaque évalué, consacrez une à trois heures de préparation pour revenir en détail sur l'année écoulée. Dans l'idéal, vous aurez tenu un journal de bord grâce auquel vous ne vous focaliserez pas uniquement sur le dernier mois. Prévoyez une heure et demi à deux heures d'entretien.

2. Savoir aborder tous les sujets
"Les managers ont souvent peur de dire la vérité et de décevoir. Cela demande du courage", note André-Jean Grenier. Il est conseillé de faire régulièrement des points plutôt que d'attendre l'entretien d'évaluation pour dire ses quatre vérités. "Les non-dits sont facteurs de démotivation", ajoute Alain Godard. "Les cadres ressentent mal l'entretien lorsque les sujets qui les concernent individuellement sont évités ou mal abordés." Pour dire les choses, il faut s'appuyer sur des faits concrets, chiffrés dans la mesure du possible, et utiliser des mots simples. "Eviter de dire jamais ou toujours", conseille Alain Godard. On préférera par exemple "Pourquoi, lorsque je suis là, ne viens-tu pas me dire bonjour ?" à "Tu ne viens jamais me dire bonjour !" Il faut aussi savoir reconnaître ses tords et les assumer. "Je conseille de parler à la première personne", dit André-Jean Grenier. C'est moi qui ai un problème avec son attitude, pas lui." Il faut aussi pousser son interlocuteur à parler. "Il est fréquent que les cadres évalués se renferment, indique-t-il. Il faut alors poser des questions ouvertes."

3. Faire le point sur les résultats
L'entretien d'évaluation, comme son nom l'indique, est le moment privilégié pour évaluer le travail du managé. Cela passe par l'analyse de ses résultats, liés aux objectifs fixés l'année précédente. "Il faut tenir compte de l'environnement dans lequel ils ont été obtenus et des compétences de celui qui agit, indique Alain Godard. Un même résultat peut représenter une bonne ou une mauvaise performance selon les individus et les conditions." Il faut donc vous demander pourquoi les objectifs ont été ou non atteints et étudier de près les difficultés rencontrées pour les atteindre. Cela pourra mettre en évidence la nécessité de donner au cadre tel ou tel moyen ou de lui faire suivre une formation.

4. Fixer les nouveaux objectifs
L'objectif est le résultat mesurable attendu dans un délai donné. Il doit être chiffré avec précision. Pour cela, vous devez vous-même connaître vos objectifs. Il faut donc que les entretiens d'évaluation débutent par la direction générale, ce qui est rarement le cas. La fixation des objectifs peut donner lieu à une discussion sur les bonus associés. Mais, d'une manière générale, l'entretien d'évaluation n'est pas le bon moment pour parler salaire. Les comités de rémunération ont lieu après les entretiens puisqu'ils tiennent compte de l'évaluation. Concernant les possibilités d'évolution, on peut en discuter lors de l'entretien, mais ce n'est pas la priorité. Vous pouvez prévoir un rendez-vous indépendant, un point carrière. Les cadres souhaitent la plupart du temps aborder la question de la rémunération et de l'évolution. Pour ne pas les décevoir, prévenez-les auparavant. Dites-leur quels points seront traités lors de l'entretien et quels points seront soulevés au cours d'autres rencontres.

5. Après l'entretien
L'entretien d'évaluation n'est efficace que s'il s'intègre dans un mode de management plus large, dans lequel des échanges réguliers ont lieu entre un manager et son équipe. "Je conseille d'organiser un entretien quinze jours après l'évaluation, au cours duquel le managé présentera son plan d'action pour atteindre les objectifs", insiste Alain Godard. Au cours de l'année, prévoyez au moins un rendez-vous trimestriel pour aborder les difficultés rencontrées par le managé et lui apporter le soutien nécessaire. "Cela permet en plus de mieux connaître le poste et l'activité de ses collaborateurs", conclut-il.

Via JDN.

Un proviseur révoqué à cause de son blog

Un proviseur d'un lycée de l'académie de Montpellier vient d'être révoqué par le ministère de l'Education Nationale qui nous a confirmé cette information lundi après-midi. Ce proviseur avait ouvert un blog sous un pseudo, mais il y aurait mentionné sa fonction, aurait évoqué sa vie professionnelle et privée ainsi que son homosexualité, tout en mettant en ligne des photos. Suspendu peu après la rentrée, il vient donc d'être licencié. Les photos mises en ligne auraient été considérées comme pornographiques.

Ils parlent de Garfieldd :

jeudi, janvier 19, 2006

Choisir l'intérim pour enrichir son CV

Le travail temporaire est formateur par nature.
En enchaînant les missions dans des entreprises différentes, vous allez acquérir des expériences diverses et développer vos compétences.

Même sans expérience, l'intérim vous ouvre ses portes. Pour près de quatre intérimaires sur dix, l'intérim a été le premier emploi. Ainsi, le travail temporaire constitue un moyen découvrir la vie en entreprise pour les jeunes. C'est aussi un bon moyen d'enrichir son expérience et d'accroître ainsi ses chances d'accès à un poste fixe.

Qui peut devenir intérimaire ?L'intérim propose des missions dans tous les secteurs d'activité. Mais les Bac +5 sont surtout recrutés dans le tertiaire et les services. Pour espérer décrocher une mission, le diplôme ne suffit pas. " Il faut avoir suivi un cursus débouchant sur la maîtrise d'un métier ", précise Tristan d'Avezac, responsable des relations extérieures chez Adecco. Les profils généralistes sans expérience professionnelle ont peu de chance de débuter dans l'intérim. En effet, les entreprises de travail temporaire recherchent des compétences : des informaticiens, des ingénieurs, des contrôleurs de gestion, des commerciaux, des comptables. " Les Masters / DESS Banque-Finance, par exemple, les diplômés d'écoles de commerce et d'ingénieurs sont donc les bienvenus. À condition qu'ils justifient de stages en entreprise ", ajoute Tristan d'Avezac.

Comment décrocher une mission ?Pour trouver rapidement une mission, vous pouvez multiplier vos chances en vous inscrivant dans plusieurs agences. Débuter dans l'intérim représente une véritable recherche d'emploi. Il faut rédiger son dossier de candidature mais aussi cibler les entreprises de travail temporaire. Certaines sont dédiées aux cadres, d'autres sont spécialisées par secteur d'activité : tertiaire, industrie, high-tech, etc. Choisissez celles qui correspondent à votre profil. Il vous faudra passer un entretien et des tests de sélection avant de vous voir proposer des missions par l'agence. Mais n'attendez pas son coup de fil. " Les jeunes diplômés doivent être réactifs et montrer leur disponibilité ", conseille Frédéric Noyer, directeur général de Randstad.

Comment choisir entre Intérim et CDD ?Le CDD est devenu le principal concurrent de l'intérim. En effet, désormais les indemnités de fin de contrat sont identiques soit 10 % du salaire. Du point de vue salarial, le travail temporaire a donc perdu son avantage sur le CDD. Mais si l'on raisonne en nombre et en diversité de missions, c'est l'intérim qui sort gagnant. Le candidat n'a pas à multiplier ses démarches de recherche d'emploi. Il s'inscrit dans une agence de travail temporaire et, selon son profil, il peut avoir accès à une grande quantité d'offres. Alors qu'un CDD se renouvelle qu'une fois. " Le jeune diplômé peut ainsi varier ses expériences en travaillant dans des entreprises différentes, en occupant plusieurs postes ou fonctions ", constate Frédéric Noyer. Cela lui permettra de mieux orienter son professionnel. Une sorte de test grandeur nature avant de choisir la bonne entreprise.

Ils l'ont fait" Je me suis fait embaucher à l'issue d'une mission d'intérim" Carole Larripa est responsable " consolidation " dans un groupe de travaux publics à Toulouse " Après mes études à Sup de Co Toulouse, j'ai décroché un poste de responsable financier. Mais mon entreprise a fermé ses portes. Plutôt que d'envoyer des CV, j'ai préféré contacter Expectra. Avec l'intérim, le pied à l'étrier est plus rapide. Cette agence d'intérim m'a trouvé une mission en une semaine. J'avais au préalable indiqué mon projet professionnel : je recherchais une longue mission de six mois qui déboucherait sur un poste fixe. C'est ce qui s'est passé. L'employeur m'avait prévenu que s'il était content de mes services, il songerait à une embauche définitive. Au terme de ma mission de six mois, j'ai donc signé un contrat de travail à durée indéterminée. Finalement ma première mission en tant qu'intérimaire a été une longue période d'essai pour mon employeur et pour moi : cela m'a permis de vérifier si l'entreprise, l'environnement de travail et le poste me convenaient. Quant au salaire, je n'ai pas perçu l'indemnité de fin de mission, mais j'ai négocié une augmentation salariale. "

Infos +Le Sett (Syndicat des entreprises de travail temporaire) défend les intérêts de la profession. Tél.: 01 55 07 85 85 (www.sett.org). Le Fastt (Fonds d'action sociale du travail temporaire) facilite l'accès des intérimaires à différents services (crédits à la consommation, aides au logement locatif, prêts pour accéder à la propriété, mutuelle, etc.). Tél. : 0800 28 08 28 (numéro vert).

Via hobsons.

Hobsons lance son site emploi

Hobsons, l’éditeur des guides GO pour les étudiants, vient de terminer son déploiement sur Internet en lançant son nouveau site d'emploi : www.hobsons.fr.

Ce portail, centré sur la formation et l’emploi pour les jeunes diplômés, veut s’imposer comme l’un des sites incontournables sur cette niche très convoitée.

Performanse et SBT lancent TwoB, un nouvel outil d’évaluation des potentiels

Performanse, l’éditeur d’outils d’évaluation des compétences comportementales s’est allié à SBT, le spécialiste des tests cognitifs pour proposer TwoB. Cette nouvelle solution d’évaluation innove en mixant approche cognitive et évaluation comportementale.


Les sciences cognitives étudient les processus mentaux mis en œuvre pour calculer, mémoriser, raisonner, décider… Chaque processus active un réseau de neurones spécifiques. La pertinence des tests cognitifs dans des procédures d’évaluation a été prouvée par de nombreuses études récentes, réalisées dans l’aviation militaire et civile aux Etats-Unis.

La psychologie comportementale se penche, pour sa part, sur les actions des individus dans les faits. Elle est la plus utilisée dans les évaluations des personnalités au sein des entreprises. "Cognitif" et "comportemental" sont en fait très complémentaires et très liés.

Via FocusRH.

Le e-recrutement doit trouver un meilleur équilibre entre bruit et transparence

Voici un article trés interresant sur e-recrutement via un tres bon site e-recrutement.

Quel élément vous a le plus marqué dans votre recherche sur les sites emploi ?
On peut caractériser les médias de recrutement en les situant par rapport à deux variables très simples : "transparence" et "bruit". La transparence évoque la facilité et la centralisation de l’accès à l’information (tant sur les emplois que sur les candidats), le bruit la proportion d’informations non pertinentes (par exemple, pour les recruteurs,les candidatures "non qualifiées" et, pour les candidats, les offres mal libellées ou ne correspondant pas à leur profil).
L’arrivée du recrutement par Internet a joué sur les deux variables : la transparence du marché du travail a fortement augmenté… mais également la part des "mauvaises" informations. En d’autres termes, il y a plus d’information mais aussi plus de tri à faire. Fondamentalement, tout se passe comme si la relation transparence/bruit était croissante, plus de transparence impliquant mécaniquement plus de bruit.


On peut d’ailleurs analyser de ce point de vue un trait majeur du recrutement par Internet : la distinction sites généralistes / sites spécialisés. Les premiers favorisant le volume d’information, les second la pertinence. Ainsi, sur un graphique simple figurant la transparence en abscisse et le bruit en ordonnée, les sites généralistes apparaîtraient, par rapport aux spécialistes, à la fois plus à droite et plus haut.


Finalement, ce sont là deux façons de sélectionner l’information pertinente : en amont avec l’utilisation des sites spécialisés, qui permettent de cibler a priori les recherches (de candidats et d’offres), ou en aval avec les sites généralistes, qui nécessitent alors souvent de recourir à des outils de gestion de candidatures pour séparer a posterori l’ivraie du bon grain.


Les annonces presse sont-elles condamnées à disparaître ?
La presse conservera au moins une certaine catégorie d’offres d’emploi, celle qui a une dimension "communication corporate". En outre, elle permet de toucher des candidats potentiels réellement passifs, qui n’ont ni déposé de CV sur un site emploi ni souscrit à une alerte e-mail.


Cela dit, l’essentiel des offres est aujourd’hui sur Internet. Mais ce sujet est tellement polémique qu’il est impossible d’avoir des chiffres fiables sur les parts de marché des différents médias. Il est dommage de ne pas avoir d’outils pour suivre le nombre d’offres d’emploi, par exemple, sur Internet et dans la presse. Il faut dire que la duplication des offres ne facilite pas les choses : beaucoup d’annonces paraissent à la fois dans la presse et sur Internet et, parmi les annonces Internet, la plupart sont simultanément diffusées ou référencées sur plusieurs sites.


Internet menace-t-il le métier des agences de communication RH ?
Les agences de communication RH ne sont pas menacées, par contre leur métier traditionnel de courtier en achat d’espaces l’est. En 1993, les offres d’emploi ont été exclues de la loi Sapin, loi sur la transparence des achats d’espaces publicitaires ; autrement dit, les agences ont pu continuer à réaliser de fortes marges sur les offres d’emploi dans la presse. Ceci ne les a pas incité à diversifier leurs sources de revenus. Or, compte tenu des prix bien plus bas pratiqués sur Internet, les marges réalisées avec ce média sont en valeur absolue sans commune mesure avec celles faites sur les annonces presse.


Les agences de communication RH s’orientent donc maintenant de plus en plus vers le conseil et des prestations globales sur "l’image employeur", qui offrent une plus forte valeur ajoutée. Pour autant, il existe une tension permanente dans les agences entre leur activité traditionnelle d’achat d’espaces et leur nouveau modèle d’activité : l’engagement des agences dans jobposting.fr montre qu’elles n’ont pas encore renoncé à leur métier premier, ni à leur marge sur cette activité. Moins que les gains de productivité liés à l’automatisation très forte permise par cette plate-forme, on peut penser que c’est surtout la possibilité de peser collectivement sur le marché pour accroître les marges qui est ainsi recherchée. En tout cas, c’est de cette manière que l’ont perçu beaucoup de sites emplois, qui ont accueilli plutôt fraîchement l’initiative.


Comment ont réagi les cabinets de recrutement face à Internet ?
Il y a, en France, trois grandes catégories d’acteurs et chacune a intégré différemment la dimension Internet.
Les grands cabinets anglo-saxons avaient déjà mis en place une approche assez industrialisée du recrutement. Internet correspondait parfaitement à cette vision et a été très tôt intégré. Il est intéressant de noter que dans les premiers classements des jobboards en 2000, le site de Michael Page était cité.


Les cabinets français, plus traditionnels, ont été plus réticents à l’arrivée d’Internet. C’est logique, ils ont une démarche très qualitative et travaillent sur le marché caché. La transparence et le bruit des sites Internet ne correspondaient pas à leurs attentes. Toutefois les choses évoluent. Plusieurs initiatives ont vu le jour comme le regroupement de 7 cabinets indépendants pour lancer la plate-forme commune Talentup.


Enfin, des nouvelles structures, très orientées nouvelles technologies, sont apparues. Ces sociétés, comme CVdunet ou Talentpeople, offrent une prestation de présélection à leurs clients. Elles sont nées avec Internet et l’ont pleinement intégré dans leur métier.


Les entreprises de travail temporaire ont-elles adopté massivement Internet ?
Paradoxalement, ces sociétés sont arrivées très lentement sur Internet. Leur vrai métier est de faire vivre leur propre vivier de candidats, dûment évalués, pour répondre très rapidement aux besoins de leurs clients. Dans cette optique, Internet n’est finalement intéressant que pour des profils pénuriques ou très particuliers qui ne se trouvent pas dans les fichiers internes.
Par contre, avec la loi Borloo, qui a ouvert aux entreprises de travail temporaire la possibilité de recruter pour des postes en CDI, tout porte à croire que cela va changer. En effet, il ne sera par définition plus possible de s’en tenir à une logique de vivier et les besoins de sourcing des ETT vont fortement augmenter. Or, Internet paraît bien adapté à leur souci de serrer les coûts de leurs prestations.


Quelle est la place de l’ANPE dans cette nouvelle donne ?
L’ANPE a deux missions précises depuis sa création : accroître la transparence du marché du travail et agir de manière contre-sélective pour favoriser l’embauche des chômeurs les plus éloignés de l’emploi.
Internet est venu renforcer les tensions naturelles entre ces deux missions. Le site emploi est un grand outil de transparence à tel point que de nombreux candidats en poste consultent les offres et postulent. Ce qui peut rendre plus difficile le retour à l’emploi des chômeurs, donc la mission de contre sélection de l’ANPE.


Sur Internet, l’ANPE a envisagé une stratégie "d’agrégation des offres" : elle aurait fait du site anpe.fr un méta-moteur de recherche à la Keljob. Elle n’a pas retenu cette option pour se recentrer sur la qualité des offres publiées. En effet, avec l’agrégation, elle ne pouvait pas vérifier l’exactitude de toutes les offres. Elle aurait contribué à augmenter le bruit pour les candidats.


L’ANPE s’est donc plutôt orientée vers une stratégie "d'intégration des offres" avec les nouvelles normes HR-XML. Le but est de permettre aux entreprises de transférer directement leurs offres, depuis leurs sections carrières, sur le site de l’ANPE. L’intérêt est que les offres viennent s’intégrer dans la base même de données de l’ANPE et qu’aucune concession n’est faite sur la richesse de la classification offerte aux chercheurs d’emploi.


Cette orientation est plus contraignante mais elle permet d’offrir une grande quantité d’offres tout en conservant un classement de qualité. C’est finalement une façon d’accroître la transparence du marché du travail, sans augmenter significativement le niveau de bruit.


Quelles tendances marqueront l’année 2006 ?
Sur le marché des sites emploi, on observe clairement depuis quelque temps un déplacement vers chacune des extrêmités de la courbe transparence / bruit. Des modèles offrant un maximum de transparence et de bruit sont apparus avec les moteurs de recherche d’emploi comme simplyhired. Google Base va aussi dans le même sens : le dépôt d’offres est entièrement gratuit; par contre, il est très difficile de s’y retrouver. A l’autre extrémité de la courbe, d’autres services mettent en avant un très faible niveau de bruit, mais avec en général pour contrepartie une moindre transparence : il s’agit des sites de cooptation et de réseaux sociaux.


On peut se demander si les sites qui marqueront 2006 ne sont pas ceux qui, au lieu de se déplacer sur la courbe transparence /bruit, vont déplacer cette courbe, c’est-à-dire trouver des modèles susceptibles de faire évoluer la relation et d’obtenir une réduction du bruit tout en maintenant une certaine transparence. Il y a de ce point de vue une différence intéressante entre l’approche de CooptIn et celle de Jobmeeters, ce dernier proposant plus de transparence en publiant ses offres, tout en comptant de la même façon que son concurrent sur le travail des coopteurs pour réduire le bruit.


D’autre part, la norme HR-XML pourrait enfin se répandre. Cela faciliterait grandement les transferts d’informations. Les pouvoirs publics peuvent, à mon avis, jouer un rôle moteur décisif. Déjà, les différents services publics de l’emploi européens travaillent à la mise en place d’une plate-forme emploi commune. Et toutes les données seront transmises avec la norme HR-XML. C’est un premier grand pas.

Via e-recrutement.

mardi, janvier 17, 2006

L'intérim cadre progresse plus vite que l'intérim salarié

Alors qu'en évolution annuelle, l'ensemble des intérimaires a progressé de 4.9%, le nombre d'intérimaires cadres a crû de 12.7%.

Au premier trimestre 2005, le ministère de l'Emploi dénombrait 590 800 emplois en équivalent temps plein dans l'intérim. 9500 de ces intérimaires étaient des cadres.

Les métiers de l’avenir

Infirmières, aides à domicile, professeurs, employés de bureau... Autant de
métiers qui vont énormément recruter d’ici à 2015, selon le Commissariat général
au Plan. Au total, 7,5 millions de postes devraient être à pourvoir sur cette
période.


Les baby-boomers seront-ils les sauveurs du marché de l’emploi ? En partant à la retraite dans les dix prochaines années, la génération née après la Seconde guerre mondiale va libérer de très nombreux emplois.

C’est l’argument phare des chercheurs du Commissariat général au Plan et de la Dares (Direction des études et recherches du ministère de l’Emploi) pour justifier leur optimisme. Ils annoncent en effet que 7,5 millions de postes seront à pourvoir dans les dix prochaines années, dont 80 % seront libérés par ces départs à la retraite.

Pour la première fois depuis les années 1970, le nombre de postes à pourvoir sera même supérieur ou égal au nombre de jeunes sortant du système éducatif. Si l’on se fonde sur une hypothèse de croissance médiane à 2 % par an et d’un contexte économique stable, le nombre de départs de l’emploi serait de 600 000 par an et les créations nettes d’emploi de 150 000 par an.

15 métiers regroupent 50 % des postes à pourvoir

Certaines familles professionnelles seront particulièrement demandées. Ainsi, 15 métiers regroupent la moitié des postes à pourvoir. Dans le quinté de tête : les assistants maternels et aides à domicile (411 000 postes à pourvoir), les agents de service et d’entretien (364 000), les enseignants (360 000), les cadres administratifs et dirigeants (304 000) et les aides soignants (257 000). Viennent ensuite les conducteurs de véhicules, les fonctionnaires de catégorie C, les employés administratifs, les ouvriers qualifiés des indutries de process, les informaticiens, les infirmières et sage femmes, les cadres commerciaux, les manutentionnaires, les employés de maison, et les représentants.

Quoi de commun entre tous ces métiers ? Ils sont presque tous liés aux activités de service au sens large. Publics ou privés, ils traduisent la tertiarisation croissante de l’économie et le déclin de la plupart des métiers industriels peu qualifiés ou des travailleurs indépendants. On note aussi une tendance à la polarisation du marché de l’emploi : d’une part, les postes de cadres hautement qualifiés seront toujours plus nombreux ; de l’autre, les emplois peu qualifiés des services et de l’aide à la personne seront eux aussi en forte croissance.

Pas de réjouissance excessive pour autant : l’augmentation des postes à pourvoir ne se traduira pas nécessairement par une baisse du chômage, estime le commissariat général au Plan. Car les personnes en recherche d’emploi ne correspondent pas toujours aux profils recherchés. Des tensions pourraient ainsi apparaître dans certains secteurs, alors que le chômage persisterait par ailleurs.

Via l'ANPE.

lundi, janvier 16, 2006

Contrat première embauche (CPE)

Un contrat première embauche (CPE) est institué pour les jeunes de moins de
26 ans. Il emprunte au contrat nouvelles embauches (CNE), instauré en juillet
pour les entreprises de moins de vingt salariés, une période d'essai de deux ans
dérogatoire du droit commun (un à trois mois dans un CDI). Cette période d'essai
sera réduite de la durée des stages, CDD ou formations en alternance accomplis
préalablement dans la même entreprise. Après deux ans, ce contrat reprend toutes
les caractéristiques d'un contrat à durée indéterminée.

Le CPE ouvrira droit à une indemnisation de chômage dès le quatrième mois de contrat (contre six mois au cours des vingt-deux derniers mois dans le droit commun du chômage). L'indemnité sera alors de 460 euros par mois, pendant deux mois. Le CPE ouvrira aussi un droit individuel à la formation d'une vingtaine d'heures par an dès la fin du premier mois d'activité. Enfin, il doit en principe permettre aux jeunes d'accéder plus facilement au crédit et à la location d'un logement (le mécanisme de l'étalement de caution du Locapass sera proposé automatiquement à la signature d'un CPE).



Via lemonde.

Contrat première embauche

Le contrat première embauche (CPE) est un nouveau contrat de travail à durée indéterminée réservé aux jeunes de moins de 26 ans embauchés dans des entreprises de plus de vingt salariés.

Durant la période "consolidant l'emploi" de deux années, le licenciement sans justification est possible.

Les stages, CDD et périodes en alternance effectués par le jeune dans la société seront comptés dans la durée de la période d'essai du CPE.

Le jeune recruté en CPE aura droit à une formation dès le deuxième mois passé dans l'entreprise.

dimanche, janvier 15, 2006

Maison de l'emploi

Les maisons de l'emploi sont une initiative de Jean-Louis Borloo, ministre de l'emploi, du travail et de la cohésion sociale, dans le cadre de son Plan de cohésion sociale.

Ce plan prévoit d'ici 2008 la création de 300 maisons de l'emploi réparties sur l'ensemble du territoire.

Elles ont pour objectif d'optimiser le service rendu aux demandeurs d'emploi, aux salariés et aux entreprises.

Leurs missions :
  • informer et orienter,
  • anticiper l'ensemble des besoins du territoire en matière d'emploi et réaliser leur articulation avec les besoins de formation
  • faciliter l'accès et le retour à l'emploi.

Elles se mettent en place sous la responsabilité des collectivités territoriales (communes, groupements de communes, etc.).

Contrat nouvelle embauche

Le contrat nouvelle embauche (CNE) est officiellement un nouveau type de contrat de travail à durée indéterminée en France pour les entreprises de moins de vingt salariés.

Sa principale caractéristique est la période "consolidant l'emploi" de deux années où le licenciement sans justification est possible, dont la caractéristique principale est d'introduire période de "consolidation de l'emploi" de deux années où les règles de licenciement sont allégées par rapport au contrat à durée indéterminée classique.

Annoncé par le premier ministre Dominique de Villepin en juin 2005, il a été adopté par l'ordonnance n°2005-893 et présenté au conseil des ministres le 2 août pour entrer en application le 4 août 2005.

Fonctionnement du Contrat Nouvelle Embauche
Le CNE est un contrat réservé aux entreprises de moins de 20 salariés (la déclaration de politique générale de M. de Villepin devant l'Assemblée Nationale parlait de 10 salariés), soit 96% des entreprises françaises.

Le CNE est juridiquement un contrat à durée indéterminée, soit « sans détermination de durée ». Toutes les règles du droit du travail s’appliquent, mais les modalités de rupture sont totalement différentes.

En effet, il est prévu une période dite « de consolidation de l'emploi » de deux ans, durant laquelle l'employeur peut rompre librement pendant vingt-quatre mois sans avoir à justifier de motif de licenciement. (Nouveauté juridique, qui modifie les règles en vigueur depuis 1973). La rupture doit être notifiée par lettre recommandée avec avis de réception.

Le délai de contestation devant les prud'hommes est ramené à douze mois (ce délai doit être mentionné dans la lettre de notification de la rupture). Par comparaison, le délai de saisine du conseil de prud'hommes pour un licenciement est de trente ans. Cette modalité de rupture a été fortement contestée par les syndicats mais a été jugée légale par le Conseil d'État.

L’employeur doit verser au salarié une indemnité égale à 8 % du montant total de la rémunération brute due au salarié depuis la conclusion du contrat, ainsi qu'une contribution de 2% à l'Assedic.

Le délai de carence obligatoire pour le réemploi du même salarié dans l'entreprise après une rupture d'un CNE est de trois mois. Le salarié pourra bénéficier de l’assurance-chômage selon les règles en vigueur. Toutefois, s’il n’est pas pris en charge, il aura droit à une allocation forfaitaire dès lors qu’il a travaillé quatre mois dans l’entreprise.

En cas de rupture à l'initiative de l'employeur durant le premier mois de conclusion du contrat, il n'y a pas de préavis. Il s'agit de la période d'essai du contrat. En cas de rupture après le 1e mois mais avant le 6e, le préavis est de deux semaines. En cas de rupture après le 6e mois mais avant la fin de la période de consolidation de deux ans, le préavis est d'un mois.

Si la rupture n’intervient pas pendant la période des deux ans, les règles du droit commun (CDI) s’appliquent.

En cas de rupture à l'initiative du salarié pendant la période de "consolidation", si le contrat n'a rien prévu sur le sujet, il n'y a pas de préavis.

La condition d'effectif s'apprécie en équivalent temps complet, selon les règles édictées par l'article L. 620-10 du code du travail. Elle s'apprécie à la date de conclusion du Contrat Nouvelle Embauche concerné. Les Contrats Nouvelles Embauches comptent dans l'effectif, sauf à être exclus à un autre titre.

Via wikipedia.

Conseil aux jeunes diplomés

Suite à une longue conversation téléphonique (le blog cela sert aussi à se parler ensuite) avec Nicolas, jeune diplomé blogger, voici une synthèse de conseils génériques pour votre recherche d'emploi.

1 - Chercher un emploi est un vrai travail et nécessite de la méthode et de l'organisation.
2 - A partir de vos expériences de stage et de vos souhaits donnez vous des objectifs clairs. Evitez le cas de figure classique : je veux faire du marketing high tech mais j'accepte un poste de commercial en grande distribution. Cela nécessite plus de temps, mais les recruteurs ressentiront votre envie profonde et votre motivation pour le marketing si c'est un objectif construit.
3 - Mettez en valeur sur votre CV vos expériences de stage les plus en rapport avec votre cible. Pensez à l'équilibre du CV : un stage de 6 mois mérite plus de place qu'un stage d'1mois.
4 - Ne vous arrêter pas aux seules annonces, utiliser tous les moyens possibles à la fois :
- les annonces donc : presse papier (si, si cela existe encore), sites web généralistes (Monster, Cadremploi, Apec,...), sites spécialisés métier, blogs de recrutement (Carriereonline, Blogjob.net, Altaide,...)
- les candidatures spontanées aux entreprises et aux cabinets de recrutement : long, décourageant souvent, mais c'est 20 à 30 % du marché et la concurrence sur un poste éventuel y est faible.
- utiliser les relations de vos parents et de vos anciens responsables de stage (en général à 24 ans votre réseau relationnel est très court)
- utiliser internet, les blogs, les logiciels sociaux (type Linkedin, Viaduc ) pour identifier des managers susceptibles de recruter (par exemple sur CEO Blogger's ).

5 - Créer votre blog en prenant exemple sur celui de Nicolas en vous centrant surtout sur des réflexions métier : voir note sur le sujet.
6 - Préparer vos entretiens !
7 - Montrer votre motivation en entretien, chercher à connaitre la suite du process, fixer des dates, relancer le recruteur (sans tomber dans le pénible, un candidat qui relance est toujours perçu positivement).
8 - Enfin : soyez patient et tenace.

Via altaide.

Un sondage effectué auprès de cadres de haute direction révèle des tactiques de recherche d'emploi inhabituelles

MONTREAL, QC, le 4 novembre /CNW/ - Que ce soit en décidant d'envoyer unsoulier avec son curriculum vitae ou de se présenter à une entrevue nu-pieds,plusieurs chercheurs d'emploi adoptent des tactiques peu courantes pourattirer l'attention d'un responsable du recrutement, selon un nouveau sondage.On a demandé à des cadres de haute direction d'identifier les stratégies lesplus uniques que les candidats ont utilisées pour se distinguer de la foule.Les résultats indiquent que le fait de communiquer votre ingénuité, votredébrouillardise et votre créativité à de nouveaux employeurs potentiels peutvous ouvrir des portes... ou en fermer certaines.

Ce sondage comprend les réponses de 150 cadres de haute directiontravaillant notamment dans les services des ressources humaines, des financeset de la commercialisation. Il a été mené par un cabinet de rechercheindépendant et il a été conçu par Accountemps, la première et la plusimportante société mondiale de services de dotation en personnel temporairespécialisé en comptabilité, en finances ainsi qu'en tenue de livres.

A la question : "Quelle est la chose la plus inhabituelle dont vous avezentendu parler ou que vous avez vu faire par un candidat pour un poste quicherchait à se distinguer?", les personnes interrogées ont notamment répondu :
- "Un candidat a envoyé un soulier avec son curriculum vitae, le tout accompagné d'une note disant 'Je veux me placer les pieds au sein de votre société.'"
- "Un candidat s'est présenté à l'entrevue nu-pieds."
- "Une chercheuse d'emploi a inclus avec sa demande une photo d'elle-même de 20,3 cm par 25,4 cm prise lors d'un concours de beauté."
- "Une personne a mis des confettis dans l'enveloppe contenant son curriculum, ce qui a créé tout un gâchis."
- "Une femme a apporté un caniche avec elle lors de son entrevue car elle ne voulait pas le laisser dans l'auto."
- "Un candidat a envoyé son curriculum sur une bouteille d'alcool à l'attention du chef de la direction de la société."
- "Tous les mots importants étaient encerclés dans un curriculum vitae."
- "Quelqu'un a envoyé un sachet de café avec une note disant : 'Je vous offre un café.'"
- "On m'a envoyé un morceau de gomme à mâcher avec un curriculum et un petit mot me demandant de 'bien ruminer toute l'information.'"
- "Un candidat s'est présenté à l'entrevue habillé en clown, vêtu d'un habit de clown en satin très coloré et portant une perruque rouge, un nez écarlate et de grosses chaussures."
- "Nous avons reçu un biscuit géant sur l'emballage duquel il était inscrit 'J'aimerais être une pépite dans votre biscuit.'"

"Dans le milieu de l'emploi très concurrentiel d'aujourd'hui, lescandidats ressentent de plus en plus de pression les incitant à se démarquer",a affirmé Max Messmer, président du conseil d'Accountemps et auteur de JobHunting For Dummies(MD) (John Wiley & Sons, Inc.). "Bien que les méthodesoriginales puissent aider les candidats à se faire remarquer, les chercheurs d'emploi devraient demeurer professionnels en tout temps et adaptersoigneusement leur approche à l'entreprise ou au secteur spécifique qu'ilsvisent."

Quelles tactiques de recherche d'emploi sont appropriées lorsque vouscherchez à vous distinguer des autres candidats? Selon M. Messmer, l'approcheclassique est encore la meilleure : créez un curriculum vitae concis et cibléqui décrit vos réussites dans le cadre de postes précédents et qui met enévidence ce que vous pourrez apporter à la société si vous êtes embauché.

M. Messmer fait remarquer que rien ne peut remplacer le sens del'initiative et le professionnalisme. Il offre d'ailleurs les suggestionssuivantes :
- Passez en revue la description du poste et soulignez dans votre curriculum vitae et dans votre lettre de présentation les aspects de votre expérience précédente qui font de vous le meilleur candidat pour cet emploi.
- Recherchez des informations sur la société avant votre entrevue et posez des questions ciblées et avisées qui soulignent vos connaissances.
- Mentionnez les habiletés que vous utilisez dans le cadre d'activités bénévoles en dehors des heures de travail.
- Prenez des notes durant l'entrevue pour démontrer que vous portez attention à ce qui est dit.
- Envoyez une carte ou un courriel de remerciement immédiatement après avoir rencontré un responsable de l'embauche.
- Prenez part aux activités d'une association professionnelle ou industrielle.

Accountemps compte plus de 325 bureaux dans de nombreuses villes importantes d'Amérique du Nord, d'Europe, d'Australie et de Nouvelle-Zélande et offre des services de recherche d'emploi en ligne, à l'adresse: www.accountemps.com

jeudi, janvier 12, 2006

Un CV doit-il être original ?

Le succès fulgurant du CV de Alexandre Gueniot (150000 visites, 30 propositions de poste d'après son blog) et l'exemple de celui d'Alexis peuvent pousser certains à s'interroger sur l'intérèt d'avoir une approche innovante et décalée pour se différencier dans le process de recrutement.

Attention à votre cible ! Si vous êtes développeur multimedia ou de jeux pourquoi pas, vous montrez votre savoir faire.Par contre un CV décalé pour l'ingénieur commercial, le controleur de gestion, ou le patron R&D (pour ne citer que quelques exemples), risquent plus de faire peur même si l'animation est bien faite.

Récemment chez Altaîde nous avons reçus le CV d'un directeur de projet intégration travaillant chez Cap Gemini. CV auquel il avait joint un fichier video le montrant (visiblement chez lui dans son salon ...) en train d'expliquer pourquoi il était le bon candidat. Impression très mitigée après l'avoir visionné plusieurs fois, alors que le CV classique seul donnait plutot envie.

Ce type d'approche passe mal généralement chez les cabinets de recrutement, les chasseurs de têtes, et les SSII. L'important pour un recruteur qui trie des CV est d'aller à l'essentiel rapidement : qui, coordonnées, poste recherché, formation, dernière expérience doivent sauter aux yeux (d'où le fameux CV sur une page ou 2).

Le tri à l'écran étant de plus en plus pratiqué (c'est ce que je fais), c'est même sur une demi page qu'idéalement on doit retrouver les éléments majeurs.

Autre point : si vous voulez intégrer les bases de données du cabinet de recrutement ou de l'entreprise, il vaut mieux avoir une forme standard (donc Word ou pdf).

La touche d'originalité pour vous démarquer aujourd'hui serait plutot de créer votre propre blog (voir note précédente sur le sujet ). Vos réflexions sur votre métier et votre façon de traiter des sujets donneront un éclairage complémentaire.

Un CV c'est un mailing ! L'objectif d'un mailing c'est de donner envie de vous rencontrer : donc c'est attractif, en dit ni trop, ni trop peu.

Via altaide.

lundi, janvier 09, 2006

Recrutement d'un Développeur PHP confirmé

Nous recherchons un développeur PHP de 3 à 5 ans d’expérience.

CDI – Ile de France. ASAP.

Vous serez en charge du développement de modules fonctionnels de la plateforme de blogging Blogspirit et de la maintenance applicative des plate-formes de weblogs déployées en marque blanche et hébergées par la société.

La mission se déroulera à Paris.

Formation : Bac+5 min. ou Ecole d’ingénieurs

Profil :Vous justifiez d'une expérience solide acquise dans une entreprise sur des applications web développées en PHP.

Vous vous intéressez aux évolutions du langage PHP.

Vous êtes impliqué ou avez travaillé au sein de certains projets open-source.

Vous utilisez SMARTY et savez développer en respectant les standards du web.

Vous avez un fort esprit d'équipe et appréciez le travail dans une structure à taille humaine et très réactive.

Impliqué dans la réussite de nos projets, vous êtes capables de vous engager sur la satisfaction de nos clients.

Vous êtes curieux et aimez évoluer dans un environnement qui vous apporte une grande autonomie dans le périmètre de vos responsabilités.

Connaissance(s) linguistique(s) : Anglais.

Compétence(s) informatique(s) :

PHP, concepts objets avec designs patterns, programmation objet en PHP, modélisation UML, utilisation du moteur de template SMARTY.

Mysql, Connaissances sur le SQL avancé.

Connaissance de l’architecture LAMP.

Utilisation de CVS.HTML -XHTML, CSS2, XML, AJAX.

Références solides demandées.

Contact :Philippe PINAULT

recrute@blogspirit.com

dimanche, janvier 08, 2006

Femmes en quête d'ascension professionnelle : ces conseils vous intéressent !

Existe-t-elle toujours cette barrière invisible au développement professionnel des femmes ? Et bien, à compétences égales par rapport à leurs collègues féminines, les hommes gagnent effectivement plus d’argent et sont bien plus susceptibles de figurer un jour parmi les membres de la Direction. Alors que peuvent faire les femmes face à cela ?

Voici quelques conseils éclairés de la part de nombreuses femmes occupant des fonctions de cadre supérieur au plus haut niveau, destinés aux femmes se situant plus bas dans l’échelle professionnelle :

  • Recherchez des alliés
  • Soyez vous-même
  • Invitez votre entourage à vous faire part de critiques constructives
  • Montrez ce que vous savez faire
  • Développez votre endurance

Via monster.

Les banques recrutent des cadres

Les banques et les organismes financiers ont confiés environ 2 400 offres d'emploi à l'Apec sur les dix premiers mois de l'année 2006, avec deux pics de publication en juillet et en septembre.

Ces offres sont en augmentation de 42% par rapport à la même période en 2004, alors que tous secteurs confondus, la hausse est de 26%.

Reprise d'entreprises

Si vous souhaité reprendre une entreprise, il y a actuellement 10489 offres de reprises d'entreprises sur le site transcommerce.com

L’entretien de recrutement

Un consultant ou une entreprise viennent de vous appeler pour prendre rendez-vous. Vous avez préparé votre entretien (voir Conseil n°1 : La préparation de l’entretien de recrutement ). Vous êtes presque prêt !

Quelques derniers éléments de préparation :
- soignez votre présentation en gardant en tête deux principes : être à l’aise dans vos vêtements, et être en phase avec votre interlocuteur (classique avec un cabinet, possibilité d’être plus cool avec un recruteur entreprise, mais attention vous ne prenez jamais de risques avec une tenue classique !).

- soyez à l’heure : Expérience vécue quasiment tous les jours le coup de fil du candidat en retard (Où trouver un parking dans votre quartier ? Je ne vous trouve pas au 8 (normal on est au 5 !). Je ne pensais pas que votre rue était si longue je suis au n°250,…). Repérez adresse et parking avant sur un plan, choisissez la solution la plus fiable (le Metro dans Paris souvent), demandez des précisions du type code ou étage. Au besoin rappelez une assistante pour être sur.

- Munissez vous de la copie du CV envoyé au recruteur, du descriptif de poste, et d’un bloc note. Prendre des notes est une marque d’attention à votre interlocuteur. Votre bloc note peut vous servir de mémo pour votre présentation, et inclure les points essentiels que vous souhaitez éclaircir sur le poste (ne tombez pas non plus dans l’interrogatoire systématique qui tourne au remplissage de questionnaire !).

En général, l'entretien classique se compose de 2 parties :

- Votre présentation (formation, expériences et motivations) : à vous d'être convaincant sur vos compétences et votre motivation.

- Une présentation de l'entreprise et du poste par le recruteur : c’est l’occasion de poser vos questions et de montrer votre valeur ajoutée.
N’oubliez pas que l’entretien est un moment d'échange équilibré entre vous et le recruteur : à vous de vérifier que le poste proposé correspond bien à vos attentes; au recruteur de vérifier que vous correspondez au poste.

Les différentes phases :
- La prise de contact (le recruteur vient vous chercher) : poignée de main franche, regard direct, pas de commentaires bateaux (genre ils sont beaux vos bureaux, il est rapide votre ascenseur, c’est une vraie galère de se garer dans votre quartier,…), mettez vous à l’aise (on peut enlever son manteau !, voire sa veste si votre interlocuteur fait de même), une fois installé occupez l’espace (sortir votre bloc, un stylo,…) et détendez vous (ou en tous cas essayez !).

- L’introduction du recruteur : chercher à valider le temps consacré, ses attentes. II a souhaité vous rencontrer donc il y a des éléments qui lui ont plu dans votre CV. N’hésitez pas à lui demander ! (Quels sont les éléments qui ont retenus votre attention dans mon parcours ? Souhaitez vous que je développe un ou des points particuliers ?) Rare sont les candidats qui le font, mais cela peut être un pont de départ très favorable pour démarrer votre présentation.

- Votre présentation : 10 minutes maxi (facile à tenir puisque vous vous êtes entraîné !), évitez la relecture du CV, sachez prendre du recul, synthétisez vos expériences, pensez bénéfices retirés pour vous / valeur ajoutée apportée à votre employeur, amenez le recruteur sur votre terrain en le laissant vous demander des précisions.

- Les questions du recruteur : il va chercher des précisions (soyez précis dans les chiffres, d’un entretien à l’autre nous voyons régulièrement des candidats qui évoluent dans les données annoncées), vérifier des infos en recoupant avec ce que vous avez dit précédemment ou en se servant de sa connaissance du métier (du genre : votre patron c’était qui ? / Ah je croyais que c’était Mr Untel le DC de votre société / Oui mais …), et éventuellement vous pousser pour voir comment vous réagissez sous pression.

- L’échange : profitez de toutes les occasions laissées pour rebondir en posant une question et établir le dialogue (par exemple : Dans votre métier actuel quel est le cycle de vente ? / …c’est un cycle long d’environ 6mois. Et justement dans la société X comment cela se passe t’il ?). Un recruteur se fait aussi son opinion à travers les questions posées et par votre gestion de l’entretien (en particulier sur des postes de management ou commerciaux). Au fil de l’entretien c’est vous qui posez les questions et montrez que vous cherchez vraiment à qualifier ce que pourrait être votre futur emploi.

- La conclusion : Attention, elle est bâclée par 90 % des candidats rencontrés ! C’est un moment important surtout pour un poste commercial (Qui a envie de recruter un commercial qui ne « close » pas ?). Dans tous les cas de figure, demandez à votre interlocuteur ce qu’il pense de votre candidature. Cherchez à cerner des doutes éventuels pour y répondre immédiatement (un de mes clients exprime toujours des doutes pour voir si le candidat se bat ou laisse tomber). Quels sont les prochaines étapes ? Qui rappelle ? Quand ? Puis je vous rappelez sur une ligne directe si j’ai d’autres questions ? …

Via altaide.

ANPSEDIC est un logiciel de gestion de candidatures

ANPSEDIC est un logiciel gratuit destiné aux candidats pour gérer leurs candidatures à des offres d'emploi et leurs suivis.

Son principe est très simple:
  1. Création d'une candidature en indiquant l'intitulé du poste à pourvoir et la société
  2. Possibilité de mémoriser l'offre d'emploi
  3. Possibilité de mémoriser le CV envoyé
  4. Possibilité de mémoriser la lettre de motivation envoyée
  5. Possibilité de mémoriser l'origine de la candidature
  6. Possibilité d'ajouter un accusé de réception de votre candidature
  7. Possibilité d'ajouter une suite à donner ou un refus
  8. Possibilité d'insérer un rendez-vous avec alarme
  9. Possibilité d'importer vos fichiers CSV pour les sociétés et contacts
  10. Import/Export des sociétés et contacts au format CSV ou MS-Excel
  11. Statistiques sur les temps de réponses, les entretiens, ...
  12. Possibilité de trier le listing

Un navigateur Web intégré permet de créer des candidatures ou d'ajouter des éléments à des candidatures existantes en un clic !Un annuaire avec une gestion des contacts est également disponible.

samedi, janvier 07, 2006

Tendances 2006 selon keljob.com

En matière d'accès à l'emploi, il est aujourd'hui unanimement admis qu'Internet arrive en tête, loin devant la presse qui d'ailleurs tente de rattraper son retard. Le taux d'accès a grimpé de 8 % en 2005, soit 25 millions d'individus et l'utilisation du haut débit a bondi de 50 % en un an : en octobre 2005, plus de 80 % des internautes français se sont connectés en haut débit (source Médiamétrie).

Boosté par ce succès, le marché de l'e-recrutement va conforter cette année de nouvelles méthodes initiées en 2005 comme la cooptation en ligne (jobmeeters.com, cooptin.com), les blogs de candidats et de recruteurs, la vidéo pour recruter ou se faire recruter. En parallèle, de nouveaux acteurs devraient percer sur des segments du marché : les sites spécialisés - il s'en créé un par mois ! -, les syndicats professionnels qui lancent leur propre rubrique emploi, les sociétés d'intérim (citons l'alliance Manpower-NRJ en 2005 avec tonjob.fr), l'Apec et l'Anpe avec leurs prestations payantes aux recruteurs… "Le marché se cherche, les intermédiaires essaient d'occuper des niches pour lesquelles la légitimité est à gagner" analyse Olivier Fecherolle, directeur général de Keljob.

L'impact du téléphone portable devrait aussi se faire davantage sentir avec l'utilisation des SMS, déjà lancée par mobiljob.com et jobtel.com, le développement des flux RSS pour recevoir directement des offres d'emploi adaptées et l'arrivée de la géolocalisation (Google Map) pour visualiser au plus près les lieux de travail sur une carte.

Autre tendance : selon Olivier Fecherolle, "le candidat sera de plus en plus prêt à payer pour des services liés à la recherche d'emploi : outils de suivi de candidature, tableau de bord synthétiques, kits et conseils sur la rédaction de CV, tests et offres plus complètes comme du coaching". Enfin, côté recruteurs, Keljob table sur un retour en grâce des jeunes diplômés et rappelle que les entreprises devront désormais compter sur la montée en puissance des minorités, le CV anonyme et la légalisation du "testing", un outil redoutable pour identifier les pratiques discriminatoires.

Via France 5.

Un blog-emploi pour se faire recruter

Un moyen efficace pour trouver un job ?
Si le mouvement est effectivement en plein essor, il ne faut pas compter uniquement sur lui pour éveiller la curiosité d'un recruteur. Michael Przyswa, ancien élève à l'ISCP (Institut supérieur de commerce de Paris) et blogger, conseille de "multiplier les stratégies". Le blog doit être un média "complémentaire" aux CV papier et en ligne, aux forums, aux tchats ou aux sites de networking. De plus, sachez qu'actuellement, ceux qui réussissent le mieux leur blog-emploi sont des profils spécialisés dans les nouvelles technologies, la communication, le marketing, les médias et le multimédia.

Via france 5.